Formation 7- Les trames, les métriques et les modules
48,00€ TTC
Ce module de formation en ligne permet d’enraciner, voir d’ancrer une création pour qu’elle soit durable en fonction de son dessein.
Description
La vidéo » Formation 7 – Les trames, les métriques et les modules »
1 – Les Trames :
Suite de la vidéo « Formation 6 – Les chiffres et les nombres » pour expliquer de quelle manière le praticien de la Géométrie du Sens (aussi dite géométrie sacrée) peut harmoniser l’énergie de chiffres et nombres différents, dans une même réalisation. Comment par exemple, André Le Nôtre parvient-il à harmoniser l’énergie des nombres 5 et 8 qu’il implémente pour construire le Bosquet de l’Etoile, à Versailles?
Comment caler une trame et pourquoi lui choisir une énergie involutive ou involutive? Exemple de mise en œuvre pour vibrer la sympathie, l’enthousiasme, la gravité ou la légèreté.
2- Métriques et modules:
De la paume comme unité de mesure, à la mesure intentionnellement « sacrées » des égyptiens, pourquoi et comment choisir une métrique plutôt qu’une autre? Intervention dans l’arbitrage, du lieu et de la nature de l’objet.
Quel impact le choix a-t-il sur la vie et l’environnement de la réalisation?
Quels outils choisir pour faciliter les calculs à notre époque?
Contexte :
Louis XVI, roi de France, a signé le décret d’unification des poids et mesures le 8 mai 1790. Jusqu’à cette date, chaque région utilisait sa propre mesure. L’utilisation de l’étalon « mètre » précède de loin le XVIIIème siècle puisqu’il préside à l’édification des pyramides d’Egypte.
La pensée matérialiste rationaliste a confondu les avantages du système décimal avec le principe géométrique consistant à diviser le cercle d’un jour en quatre parties et chacune d’elles en dix. Le mètre « historique correspond donc bien à un ¼ du 10.000.000e de la circonférence terrestre. La « coudée locale » d’un 40.000.000e de la longueur du parallèle à la latitude égyptienne est donc bien d’une mètre mais à la latitude, par exemple de Naples, la coudée locale mesure 0,745 mètre.
De tous temps et sur les cinq continents, le respect de modules basés sur les proportions de la planète Terre tels la coudée locale, le pouce ou l’empan, … ont permis d’harmoniser la construction avec le Soleil ou la Lune ; astres dont l’influence est prépondérantes pour le bien-être du vivant terrestre. La coudée locale permet d’enraciner l’objet (immeuble, présentoir commercial, véhicule, bijou, document, logo, etc.) avec l’univers, et l’inconscient des individus qui utilisent cet objet. « Prenez votre pied, M. l’architecte ! », l’expression devenue populaire vient de l’époque ou la liberté donnée à l’architecte de choisir la mesure à employer sur un chantier, était la manière pour le donneur d’ordre de lui en confier la maîtrise d’œuvre.
L’abandon de la coudée locale par certains pays occidentaux explique-t-elle l’augmentation des mouvements migratoires humains depuis les pays l’ayant abandonnée au profit de ceux qui continuent à en utiliser le concept ?
L’homme fait partie d’un tout et ne peut naître ni vivre durablement sans être en rapport avec son milieu.
Les égyptiens faisaient de la mesure, une expression de connaissance liant les choses d’ici-bas (dites immuables) avec les équivalences vitales d’En-Haut où tout est mouvant. Le propre étant pour toute créature et donc l’univers, d’être instable, les valeurs quantitatives doivent trouver, dans une intention de développement durable et d’harmonie de la biosphère, une valeur fonctionnelle telle que la coudée locale en procure.